Aus einer anderen Zeit

Feigling oder Kämpfer? Müssen wir wirklich kämpfen oder einfach lieber aufgeben. Einfach ist das Wort. Einfach wie einfach zu Ende. Das war’s. Alles wegwerfen in eine Sekunde. Stop. Auß. Nie wieder bis dann, nie wieder bis zum nächstes mal. Ist das die Lösung? Zu viele Fragen. Es ist aber menschlich sich Fragen zu stellen. Ich kann an nichts mehr anderes denken. Er klammert sich fest an etwas das nicht mehr wahr ist, das nicht mehr existiert. Mir ist schlecht, Beine und Hände wackeln, ich weine sehr leise. Ich kann es nicht glauben. Ich fühle mich verantwortlich. Es tut mir leid. Du bist nicht schuld! Sagt sie. Ich kann aber es nicht zugeben und glaube fest daran, dass wir alle verantwortlich sind. Hätte ich nur… Ich hätte ihn sagen sollen das ich Ihn vermisse. Früher und jetzt, ich liebe ihn fest und werde ihn nie vergessen. Ein Herz und eine Ehe ist zerbrochen aber Leute die ihn lieben das hat er. Er kann es nur nicht sehen. Er hat zu viel geliebt. Kann man zu viel Lieben? Noch eine Frage! Ein Jahr ist vergangen und die Liebe schwebt langsam weg. Zurück zu unserer ersten Frage. Er hat gekämpft für die Beziehung und gegen ihr. Und mit sein Willen sich umzubringen.

BZ-Katastrophe

Ein paar absolut entsetzliche A-la-une-Nachrichten von der BZ. Nachrichten, die für viele Leute die einzigen sind, die sie am Tag bekommen.

„Der erste Mai wird in Berlin immer friedlicher“

Es geht nicht darum, welche Demonstrationen es gab oder wofür die Menschen auf die Straße gegangen sind. Es geht nur darum, dass die Polizei mal wieder alles unter Kontrolle hatte.

„Polizei muss Klima-Kleber von der Straße schneiden“

Die Polizei hat es wirklich schwer. Aber sie MUSS es für das Wohlbefinden der Gesellschaft tun. 

Bravo à eux!

Jeden Tag (und ich übertreibe nicht) gibt es etwas Neues über den „Klima-Kleber“. Einfach Angstmacherei. 

Aber nochmal merci les poulets.

„Traumautos am Ku’damm gezeigt“

Die Deutschen lieben ihre Autos. 

Deshalb ist es auch kein Problem, eine der größten Straßen in Berlin dafür zu sperren. Die Ironie ist unglaublich. Klima-Aktivisten blockieren die Straßen für eine autofreie und saubere Welt, aber der Staat sperrt eine der größten Straßen Berlins, um schöne Autos zu zeigen.

„Tom cruised sich Popstar Shakira an“

Die BZ kann doch wirklich humorvolle und bedeutungsvolle Nachrichten beitragen! Da lachen (oder erschießen) wir uns tot…

„Baumbesetzung – Polizei passt auf“

Wer ist hier eigentlich der Protagonist? Der Baum? Die Polizei? Die Klima-Aktivisten? Die Menschheit? Der Planet?

Toujours un plaisir, die Nachrichten in der U-Bahn zu lesen.

Kleiner Bonus: „Michael Douglas verrät, wie gute Sexszenen gelingen“ – und das will jeder wissen.

De la télé-réalité à l’intellect

Des questionnements qui surviennent même dans les contextes les plus banals, même ridicules.

Une réflexion suite à une scène de télé-réalité.

Cinq femmes d’apparence blanches interagissent avec une femme de couleur noire.

La même impression revient sans cesse.

Cette femme noire a l’air plus intelligente, réfléchie, mieux dans ses baskets.

Putain, elle doit s’ennuyer avec les cinq autres.

Pourquoi ?

Je ne la connais pas.

Alors, pourquoi ?

La seule chose qui la distingue est sa couleur de peau.

On en vient à ma question :

Peut-on affirmer que les personnes subissant des discriminations sont plus réfléchies, dit de manière plus globale, plus intelligentes que celles qui ne les subissent pas ?

Je ne veux pas dire que plus tu subis différentes formes de discriminations, plus tu es intelligent, mais peut-être quand même.

Eh bien, je pense que lorsque l’on fait partie de la „minorité“, on est automatiquement forcé de se poser des questions sur sa condition humaine. Et donc, on se pose des questions fondamentalement existentielles que l’homme hétérosexuel, cisgenre, blanc et riche ne peut qu’imaginer.

(S’il ne se force pas à se les poser bien sûr, contrairement aux autres qui eux sont forcés de se les poser.)

Donc, on est plus intelligent.

Plus simplement dit.

Si on prend deux idiots, un homme et une femme.

Je suis persuadé que la femme sera plus réfléchie.

Sans pour autant dire qu’ils sont tous deux vifs d’esprit.

Dans la scène de télé-réalité, je me suis imaginé que les cinq femmes disent de nombreuses conneries ou prouvent juste leur ignorance en parlant des cheveux de la femme noire.

Pour s’affranchir de la bêtise et casser les barrières entre personnes et groupes, je ne vois que quelques solutions.

Lire, échanger, voyager, penser, se demander…

Cette réflexion m’a conduit vers de nombreuses pensées et autres questions.

Difficile de tout mettre au clair.

Pensées fin „Buda“Pest

Un sentiment fort de liberté dans un pays non démocratique.

En réponse d’un szia, un hi et d’un viszlat, un bye.

Une odeur de „chimney“ délicieuse descendant les marches du métro.

Un „metro allomas“ qui reste en tête.

Des étudiants étrangers bien trop prétentieux et ignorants.

Une expérience différente et au final très familière.

Une ville très romantique qui m’a pour autant donné mal au coeur.

Elle aime les gens plus que les animaux. Elle n’est pas dépressive. Elle aime les hommes. Elle déteste la techno. Elle porte presque tous les jours la même tenue. Elle n’a aucune idée de ce que signifie „être woke“. Elle n’est pas très belle mais pense être la plus belle. Elle a peur du noir. Elle utilise le mot esquimau. 

Le bonheur

Le bonheur c’est
Une belle soirée
Une chanson qui te fait ressentir des choses
Un fou rire
Une fou rire basé sur un souvenir et qui revient à chaque fois qu’on reparle de l’histoire
Une phrase qui commence par: vous vous rappelez quand..
Une journée plage
Profiter des rayons de soleil en fermant les yeux
L’odeur des chevaux
Une gorgée d’eau gazeuse bien fraîche
Boire de l’eau après une soirée
Des rêve éveillés avec de la musique
La satisfaction d’un projet accompli
D’avoir fini un livre
Avoir pris du temps pour une belle peinture
La patience récompensée
Noel en famille

Une belle conversation sincère et intime

L’odeur de marrons sortant du four
Une clope de lendemain de soirée
Café-clope
Tomber amoureuse

Avoir des papillons dans le ventre
Recevoir de beaux compliments
Rencontrer des belles personnes et créer des liens
Une journée cours partout
Une soirée détente pasta Pesto et netflix
Découvrir un nouvelle endroit/ pays/ ville et le comparer avec ce qu’on connaît déjà et apprécier le déjà vu ainsi qu’apprécier et admettre ce qu’on ne connaît pas
Avoir raison
Admettre qu’on a tord
S’imaginer
Se poser des questions et peut être ne jamais trouver de réponses

Qu’est ce que le théâtre pour moi?

Le théâtre est une pratique artistique dans laquelle on apprend à jouer des rôles, on apprend à ressentir, exprimer et utiliser ses émotions quand il le faut et on apprend à faire partie d’un groupe : trouver sa place et apprendre à être souder.

La première raison pour laquelle j’ai commencé à faire du théâtre est que c’était un rêve. Je voulais devenir comédienne depuis toute petite. Les comédiens sur scène m’impressionnaient, leur prestance et le courage que je trouvais qu’ils avaient, de monter sur une scène devant une foule, m’épatait. Je voulais devenir comme eux. Alors, j’ai commencé le théatre.

Le théâtre est ensuite devenu une passion. Une passion où je peux exprimer et développer mon imagination sans limite. Ce que j’aime au théâtre c’est pouvoir faire parler ma créativité à travers les différents rôles que j’adopte, pouvoir choisir comment porter le texte et être libre de m’exprimer.

De plus, le théâtre est aussi un moyen de se découvrir soi-même, d’en apprendre davantage sur soi. On apprend à être en contact avec ses émotions et à les contrôler. Ce que j’aime au théâtre, c’est le fait de devoir me surpasser, de tester mes limites et de m’améliorer. Le théâtre m’a permis de prendre confiance en moi. Si le théâtre permet de mieux se connaitre, il permet aussi d’être quelqu’un d’autre pendant un moment. On est détaché de qui on est, de nos vies. On est libre. C’est pour cela que le théâtre est aussi pour moi, une échappatoire. C’est un moyen, pour quelques temps, d’être dans la peau de quelqu’un d’autre et ainsi mettre sa vie personnelle de côté. C’est pour moi, une mise en parenthèse, pour un moment, de ma vie.

Enfin, le théâtre pour moi, c’est le plaisir d’être entouré de gens aussi passionnés que moi, c’est une réelle cohésion de groupe. Lorsque je monte sur le plateau, accompagnée par la troupe, par mes amis en coulisses ou sur scène, je me sens soutenue. Ce que je ressens à ce moment-là est très fort, c’est un mélange de fierté, de joie et de force. Lorsque je joue, j’oublie tout et le stress s’en va. J’oublie même que je joue et donc simplement : je vis. Au moment où la pièce est terminée, où les spectateurs applaudissent et où l’on remonte sur scène pour saluer le public, je regarde autour de moi et je suis heureuse. C’est un moment magique, que j’aspire à revivre.

hey :)

Ich bin Frieda Hadzi und das ist mein Blog. Ich schreibe auf englisch, deutsch und französisch und teile so und auch durch künstlerisches Zeug was mir durch den Kopf geht.

Ohne großes Intellekt, will ich hier einfach Spaß haben und Gedanken teilen. Mich interessiert: Kunst, Tiere und Natur, Soziale Interaktionen und Psychologie, Feminismus und ein bisschen Politik. Alles um ein richtiger gen Zer zu sein..

Ich will nicht das mein erster Beitrag aussieht wie ein Tinder Profil dafür ende ich hier.

-Frieda, 18.12.2021